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 Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !

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Messages : 25
Rabastan C. Lestrange
4 Sciences Magiques et Occultes
Rabastan C. Lestrange
MessageSujet: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyJeu 14 Fév - 19:28

Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  Tumblr_lhpc2nh0wF1qeza65


RABASTAN CALEB LESTRANGE
    “Chez les gens on ne voit que deux choses : ce qu’on veut y voir et ce qu’ils veulent bien nous montrer.„

PRÉNOM(S) : Rabastan Caleb NOM(S) : Lestrange ÂGE : 22 ans ORIGINES : Anglaise SANG : pur ORIENTATION SEXUELLE : hétérosexuel STATUT : célibataire presque assexué ETUDES/DIPLÔMÉ EN : Double Cursus : Sciences Magiques & Sciences Occultes et Médicomagie exempté d'option MAISON/MÉTIER : Serpentard ÉCOLE D'ORIGINE : Poudlard BAGUETTE : 26 cm de bois d'ébène, ventricule de magyar à pointe. EPOUVANTARD : le mal en lui mis à nu PATRONUS : un renard



Oh dear lord...


C’était un soir d’automne, par une nuit dépourvue d’étoile et de lune. Rien par ici ne viendrait illuminer la naissance imminente du cadet Lestrange. Un vent glacial frappait les arbres alentours protégeant le manoir majestueux d’une des plus vieilles familles anglaises de sorciers. Pourtant, par ici, tous s’accordaient à dire que l’hiver s’annonçait doux. La valeur négative qu’indiquait le mercure n’avait rien pour effrayer ceux qui, depuis l’enfance, vivaient à Londres, réputée pluvieuse.
Depuis longtemps la demeure Lestrange avait perdu de sa splendeur et de sa renommée. Depuis longtemps, en ces lieux, il n’y avait plus ni gouvernante, ni major d’homme. Non pas que l’argent manque à la famille, c’était la démence d’une mère et la violence d’un paternel qui avait fait fuir toute présence étrangère à la famille. Personne ne restait en ces lieux sans qu’il y soit forcé et lorsque la nouvelle d’une prochaine arrivée d’un enfant dans le foyer fit le tour du voisinage, les rumeurs allèrent bon train. Aucun enfant ne devrait naitre dans un tel chaos. Rodolphus, l’ainé de la famille, aurait dû être le seul. Nul besoin de créer un second martyr. Ce fut pourtant bel et bien le cas. Par cette nuit douce et sombre, une petite tête brune vint au monde, s’éveillant à la conscience dans un monde ou l’illusion laisserait bien trop vite place au désarroi. La jeune femme, mariée Lestrange trop jeune et de force, à bout de souffle, vit de son corps, émaner une tignasse brune. Un petit garçon venait compléter une famille dont personne n’aurait attendu une descendance. « Ceux-là ne devraient pas ce reproduire » disaient certains sans ambages. Nul n’aurait osé pourtant blasphémer de la sorte devant le paternel Lestrange. « Pourvu qu’aucun ne soit de la trempe de leur père » entendait-on dire certains. Ceux là plaignaient alors les enfants, priant pour leur salut avant même qu’ils ne soient venus au monde.
Ce fut dans un soupir de soulagement que sa mère lui donna son identité. Le petit s’appellerait Rabastan. Ce fut bien la seule et unique décision qui revint à sa mère, femme soumise et bientôt folle.

Les années passèrent, tant bien que mal, chaque jour n’étant qu’une pâle copie du précédent. Le petit garçon avaient les cheveux de jais de son père et le regard bleu azur de sa mère. Et bien qu’on ne le vit que très peu hors de leur domaine, on le racontait vif et turbulent. Son éducation se fit au sein même de sa famille et en compagnie de son ainé Rodolphus, qu’il admirait. Bien plus qu’un frère, c’était son exemple, son mentor et sa raison de vivre. Il passa sa plus tendre enfance à chercher sa compagnie, faussant celle d’un père qu’il détestait et d’une mère qui le répugnait.
Les deux enfants reçurent leur éducation à domicile. Ils furent instruits chaque jour et de façon parfois trop brutale aux yeux de leurs mère. Celle qui chaque nuit recevait des coups, celle dont le corps tremblait dans un lit refroidit par l’angoisse. A l’heure où les deux garçons dormaient à poings fermés, l’ogre rentrait dans et dans sa violence inouïe, battait celle qu’il n’aimait plus, celle qui prétendait parfois vouloir faire de ses enfants autre chose que des monstres.
Les garçons subirent parfois eux aussi, les foudres d’un père ombrageux. Ils ne furent que rarement heurtés par les coups, mais les insultes, elles, pleuvaient, tout comme les sortilèges tous plus douloureux les uns que les autres. Monsieur Lestrange n’aspirait qu’à en faire ses dignes descendants. Et les garçons dans leur jeunesse innocente, s’exécutèrent, culpabilisant presque de n’être que si peu à la hauteur des espérances de leur père. Du moins jusqu’à un certain âge pour Rabastan.
Car ce dernier, d’un naturel détaché, s’enferma avec une facilité déconcertante dans son monde intérieur. L’abstraction fut de loin sa toute première arme, et la plus redoutable. Hermétique aux invectives de son père, il n’en sortit pourtant pas indemne, à sa manière. Si en Rodolphus, grandissait une admiration sans borne pour la figure paternelle, Rabastan lui, apprit à taire émotions et sentiments. Il devint, par la force du temps, l’ombre d’un humain. Seul son amour pour son frère fut épargné dans la bataille, si bien qu’il ne fut même plus capable de haïr son père ou de plaindre sa mère. Ceux là, à l’entendre, méritaient tout simplement leur dessein. Il les condamnait en silence. Rabastan n’avait pas attendu son éducation pour être mauvais. Il n’avait pas attendu la violence de son père et la démence de sa mère. Il était né en colère.


Et alors il s’est passé quelques choses, je me suis laissé aller, dans un total oubli de moi même envahi par la nuit le silence et la plénitude. J’avais trouvé la liberté. Perdre tout espoir, c’était cela la liberté.


Au large, assis sur la rive d’un lac gelé, on pouvait distinguer deux silhouettes assises, l’une en tailleur, l’autre, les jambes étendues et croisées. Malgré leur position somme toute différente, nulle n’aurait pu manquer leur ressemblance. Le plus décontracter des deux, le plus arrogant aussi, se tenait en équilibre sur ses coudes, en arrière, presque allongé sur un sol bien trop froid pour qu’il ne le réchauffe. L’autre, assis en tailleur, plus réservé, renfermé, jouait d’un instrument moldu, interdit pourtant par leur père. Les douces notes d’harmonica s’élevaient délicieusement dans le ciel, accompagnant la chute du soleil vers ce qui ne serait qu’une nuit de plus. Les deux garçons n’avaient pas échangé un mot depuis une bonne heure. Le premier laissant son second se recueillir avec son instrument, savourant les dernières minutes de quiétudes restantes, à ses côtés. Rodolphus jeta un regard par dessus son épaule, alerté par un bruissement non loin et constata alors la venue d’un groupe de garçons. Ceux là n’étaient pas de leurs amis. Les Lestranges n’avaient pas vraiment d’ami, bien qu’ils côtoient dès lors les différentes mondanités. Un soupir s’échappa malgré lui de ses lèvres tandis que son cadet lui, continuait à jouer.
« Les Lestranges… voyez-vous cela. Vous êtes enfin sortit de votre trou ? »
Rabastan interrompit sa mélodie et jeta à son tour un regard derrière lui. Il reposa bien vite son regard sur le lac gelé, qu’il considéra bien plus intéressant que l’autre importun. Rodolphus s’était déjà levé. « Rab’ ramène toi faut qu’on rentre. » Rabastan s’exécuta, l’âme coopérative. « Oui rentrez vite les enfants, la folle vous attends… » Fit l’autre narquois. Rabastan l’observa, souriant arrogant. « Rab’ ramène-toi faut qu’on rentre. » répéta Rodolphus. L’intéressé s’exécuta de nouveau. Une lueur argentée l’arrêta tandis qu’il s’apprêtait à faire son premier pas. Il s’immobilisa et observa ce qui prit la forme d’un animal. Le patronus de leur mère venait comme un signal, les rappeler à l’ordre, pour qu’ils rentrent immédiatement. Les deux garçons contemplèrent le messager un instant, l’entendant comme si des paroles avaient été prononcées et échangèrent un regard. Rodolphus reprit sa route et Rabastan s’apprêtait à en faire de même. Un bras le stoppa nette, lui saisissant le sien et il tourna la tête vers son agresseur, dont le visage était maintenant si près qu’il pouvait sentir son souffle. « Qui est-ce qui va prendre une rouste en rentrant ? » Rabastan le fixa un temps, lui sourit et se défit de son étreinte, il tourna les talons de nouveau. Un court instant, il se crut capable de ne rien faire. Pour un instant seulement. Et puis, ses pulsions reprirent le dessus. Et avant même qu’il n’ait eu le temps d’y réfléchir, le corps de l’autre fut projeté sèchement, par son cavalier noir, sur le lac gelé dont la glace ne fit que se fissurer. Le gamin gémit légèrement et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, Rodolphus avait passé son bras autour des épaules de son frère, lui murmurant à l’oreille de se calmer, que ceux là ne perdraient rien pour attendre. Rabastan observa le gamin perdu sur l’étendue de glace avec un petit sourire assouvis, imaginant déjà la glace se briser et l’engloutir. Il jeta un regard aux autres et suivit son frère jusqu’à la maison, sans un mot dire.
A leur arrivée dans la demeure, Rodolphus ouvrit la porte et s’immobilisa net. Bien qu’il idolâtre son père, il n’aimait pas l’entendre battre sa mère. Le loup était rentré avant eux dans la bergerie. Et les coups pleuvaient déjà sur le corps brisé de leur mère. Rabastan entra, claquant volontairement la porte. Les coups cessèrent. La tension était à son comble. Le regard fixé dans la profondeur du couloir, les deux adolescents restèrent les jambes comme enracinées dans le sol parqueté. La silhouette de leur père apparut alors dans la lumière. « Montez dans votre chambre avant que je vous écrase vos petites gueules… » Rabastan s’exécuta, nonchalant mais n’entendant pas les pas de son frère, s’arrêta en bas de l’escalier. Il ne dit pas un mot. Le silence de ses pas suffirait à rappeler Rodolphus et il le savait. Il observa son frère par dessus son épaule. Il entendit son père s’éloigner de nouveau, prêt à offrir à leur mère, une nouvelle raclée. Il jaugea une nouvelle fois son frère et ce fut ses bras à lui qui entourèrent le corps de Rodolphus à son tour. L’ainé Lestrange se débattit, en silence, soufflant qu’il se devait d’y aller, empêcher l’affront. Rabastan ne lâchait pas et le retenait, se tenant d’une main ferme à la rambarde. Le choc des coups que recevait leur mère se fit ambiance et la rage de Rodolphus ne fit que grandir. Encore une fois Rabastan ne dit rien tandis que son frère laissait s’échapper des larmes de haine et de rage. Il aurait pu parler, lui murmurer de se calmer comme lui savait si bien le faire. Mais Rabastan ne parlait que très peu et ne savait pas faire ces choses là. Il retint son frère, luttant de toutes ses forces pour maintenir sa colère. Il finit par le plaquer contre la rambarde et le repoussa violemment vers l’escalier pour qu’il daigne le monter. Son frère l’observa haineux et finit par monter, frappant les marches rapidement. Rabastan jeta un dernier regard vers la cuisine, lieu du massacre en cours puis posa sa main doucement sur la rambarde et monta à son tour.
Lorsqu’il ouvrit la porte de la chambre, ce fut le poing fermé de son frère qui l’accueillit. Rabastan s’effondra sur le sol, pris au dépourvu. Sonné par le coup, il sentit rapidement la poigne de son frère le soulever du sol et le secouer. « T’es qu’une enflure ! Tu frappes un pauvre gosse insultant mais t’es incapable de défendre maman ! T’es un lâche Rab’, une vermine comme papa ! » S’écriait l’ainé excédé.
Rabastan resta de marbre, espérant ne pas recevoir trop de coups. Rodolphus finit par se fatiguer lui-même et se laissa tomber sur le lit. Rabastan laissa tomber sa tête contre le sol et fixa le plafond, les entrailles douloureuses. Ce ne fut qu’après un silence interminable que Rodolphus souffla « Désolé frangin. »
Ils ne se battaient pas. Il faut être deux pour se battre. Rabastan n'a jamais levé la main sur Rodolphus. Sa violence, il n'imagine pas s'en servir contre son frère.
Et s’il leur arrivait de se disputer, ce qu’ils partageaient avant tout, c’était leur protection.

Tu dois admettre qu’il est possible que dieu ne t’aime pas du tout.


Cela faisait 4 ans que Rabastan était parmi les Serpentard à Poudlard. Dans sa 15ème année, il s’était transformé. Sa peau s’était faite moins tendre et ses muscles plus saillant. Son caractère, déjà bien affirmé, s’approfondit. Son mutisme n’était qu’une corde de plus à son arc et son arrogance silencieuse était au moins aussi dévastatrice que celle séductrice de son frère. Lorsqu’il rentrait pour les vacances, a défaut de pouvoir empêcher les coups, il s’arrangeait parfois pour les déplacer, évitant à sa mère un enfer de plus et épargnant à son frère, l’envie d’intervenir. Du moins, Rodolphus s’inquiétait assez pour la protection de sa mère pour ne pas intervenir entre son père et son frère. Il savait Rabastan plus robuste que la jeune femme qui les avait mis au monde.
La première fois que Rabastan avait eu cette idée à la fois sordide et foutrement ingénieuse, il avait attendu le retour de son père avec une sérénité qui n’aurait jamais su trahir ses intentions. Même Rodolphus n’y avait vu que du feu. Lorsque la porte avait claquée. Rabastan s’était échappé sereinement de la chambre qu’il partageait avec son frère et avait rejoint ses parents dans la cuisine. Son père n’était plus qu’à un malheureux mètre de sa mère lorsque d’un coup de dent arrogant et fier, Rabastan croqua dans la pomme dont il venait de se saisir. Son père s’immobilisa et se tourna vers le jeune homme. Ce dernier continua de mordre dans sa pomme à pleines dents. Entre chaque coup de crocs, il n’avait cessé de sourire. Un petit sourire qui bien vite fit enrager son paternel. « Pourquoi tu souris ? » Silence. « Pourquoi tu souris putain ?! Dégage moi ce sourire de ton visage espèce de … » Le premier poing venait de s’abattre sur la mâchoire du jeune homme. Dès lors, l’acidité de la pomme se mêla au sang dans un picotement inconfortable. La pomme gicla sous un second coup. « Dégage moi ce sourire espèce d'insolent ! » Son dos heurta plusieurs meubles, tables et autres obstacles avant qu’il ne s’effondre sur le carrelage froid de la cuisine. Il lança un regard à son père, se préparant mentalement pour une seconde manche mais l’homme s’éloigna, préférant s’échouer dans le salon sur l’un des divans. La violence de son père, jamais il ne sut l’expliquer. Ce qu’il reprochait à leur mère non plus. Ce qu’il avait cependant compris, c’est qu’il suffisait d’offrir au paternel de quoi se défouler, pour épargner leur mère. Rabastan se redressa sur ses coudes et sa main vint évaluer l’état de sa mâchoire. Rien de bien grave. Son père ne frappait finalement pas si fort. Il resta dans la cuisine, s’installant à la table pour finir douloureusement sa pomme qu’il venait de ramasser et de passer sous l’eau, jusqu’à ce que les ronflements de son père viennent couvrir les sanglots de sa mère. Elle ne recevrait pas de coups ce soir. Il remonta alors dans sa chambre après s’être nettoyé le visage pour décharger Rodolphus de son fardeau. Il ne dit jamais rien de ses intentions à son frère, laissant entendre que cette diversion n’était que le résultat d’une arrogance de trop. Rodolphus ne sut jamais que Rabastan avait provoqué son père pour en déplacer la colère. Il crut à un simple accrochage de plus. Après tout, Rabastan n’avait été que fidèle à lui même, d’une passivité déconcertante face à un père trop agressif. C’était là sa marque de fabrique. Rabastan était capable d’une violence incroyable d’ordinaire, mais face à son père, il n’était que ce lâche dont parlait parfois Rodolphus pour le blesser.
Ces petits détournements de situation se reproduisirent à l’occasion, pas assez pour alerter Rodolphus sur les intentions de son cadet.

Tu m’as rencontré à un moment étrange de mon existence

A Poudlard, Rabastan vit l’occasion de couper les ponts avec sa famille désastreuse. Il ne changerait pas, il ne s’épanouirait pas comme une fleur sur laquelle la pluie a coulée un temps pour faire place au soleil. Ou du moins, pas de la manière dont il était attendu. Il ne deviendrait pas un grand joueur de quidditch, il ne serait pas un tombeur comme son frère, il ne serait pas des plus populaire, et il ne serait pas le meilleur en classe. Il ne serait que Rabastan, l’ombre d’un frère trop grand pour lui, et dans le fond, un fou dangereux aux pulsions sadiques incontrôlables. Doté d’une conscience et d’un sens moral digne de celui d’une huitre, il devient rapidement le type à ne pas énerver. Celui qui ne dit jamais rien, qui se contente de sourire, d’écouter, d’entendre et de comprendre. Celui de qui, à défaut d’être son ami, il vaut mieux se préserver. Il ne fit pas parler de lui pour ses conquêtes, elles furent peu nombreuses et bien souvent alcoolisées ou volées. Presque vide de désir et de sentiments, les autres, mêmes les plus jolies filles de l’école ne l’intéressaient guère. Sa petite gueule d’amour et son tempérament mystérieux avait de quoi en attirer plus d’une mais c’était comme s’il ne ressentait rien, pas même un semblant de désir. Seules de rares occasions l’amenaient à consommer le fruit défendu contrairement à son frère qui lui se fit vite une réputation de Dom Juan. Rabastan resta le type insaisissable, incompréhensible et indomptable aussi. On ne compte plus le nombre de fois où ses poings se sont serrés. On ne compte plus le nombre de fois où son frère l’a retenu avant qu’il ne commette l’irréparable. Comme cette fois où un malheureux avait voulu lui voler sa pomme. L’autre l’avait agacé tout le repas durant. Rodolphus s’était chargé de répondre, de prévenir l’autre tandis que Rabastan, dévoré par son passager noir gardait un sourire infaillible face à l’arrogance de l’autre. Il s’était enfermé dans sa bulle, sa main gauche serrant sa cuisse de toutes ses forces, l’autre serrant l’ustensile qui lui permettait de manger. Lorsqu’il aperçut la main de l’autre fondre sur sa pomme, son sang ne fit qu’un tour et d’un coup sec et imprévisible, il planta sa fourchette dans la main de l’autre. La main serrée de Rabastan autour de la fourchette ne relâchait pas l’étreinte et les appels de son frère, dont la main s’était précipitée sur la sienne pour la détendre m’y un certain temps à le raisonner. Il tenait l’autre sous le fer, avec puissance et acharnement, tel un requin qui ne lâche pas sa proie. L’autre s’était mis à chialer presque instantanément et Rabastan ne souriait plus du tout. Son visage était déformé par la rage tandis qu’il fixait avec une certaine jouissance sa victime et son sang sur la table. « Lâche Rab’… Putain mais lâche le espèce de fou ! » La main de Rabastan s’ôta d’elle-même de la fourchette, la marque du manche parfaitement imprimée en son sein. Il recula légèrement sur son siège fixant toujours la main plantée de l’autre, comme ailleurs, le regard vide, absorbé. Son visage redevint serein et Rodolphus navré ôta la fourchette pour libérer l’importun. Rabastan en avait profité pour se lever et rejoindre la sortie. Non sans sa pomme.

Lorsque Rodolphus retrouva son frère, ce dernier semblait parfaitement calmé. Ce qui eut le don d’exaspérer le premier. Il lui cracha quelques mots à la tronche avant de le brutaliser un peu. C’est plaqué contre un mur que Rabastan prononça ses premiers et peut-être derniers mots de la journée. « Lequel de nous deux ressemblent le plus à papa Rod’ ? » Il avait parlé avec un machiavélisme à faire trembler Belzébuth en personne. Rodolphus le fixa l’air grave avant de lui asséner un coup dans l’abdomen pour se venger de la pensée que venait de lui imposer son frère. Il partit frustré de n’être bon qu’à frapper son frère, inconscient du bien qu’il lui faisait, des dangers dont il le protégeait par ses coups.
Rabastan n’en manquait rien lui. Il méritait la violence de son frère. Rodolphus l’avait bien souvent sortit de très mauvaises situations. Rabastan se demandait juste, jusque quand cela durerait-il. Rodolphus se rendrait-il compte un jour que Rabastan n’avait rien de bon en lui, qu’il abritait au contraire un être d’une noirceur à faire frémir un mage noir. Ou peut-être l’avait-il noté, peut-être voyait-il en son frère une arme redoutable, une lame à acérer, pour un dessein qui les dépasserait tous.

Il est bien peu de monstre qui méritent la peur que nous en avons


17 ans et toutes ses dents. Malgré le nombre de ses accès de violence, Rabastan gardait le visage presque intact, épargné par ses nuits de lutte. Lorsqu’il n’était pas à Poudlard, sa mère s’obstinait, malgré le parfait désamour que lui vouait Rabastan et défiant sa propre dmence, à panser ses plaies toujours plus inquiétantes. « Un jour il se calmera » disait celle qui dépressive, n’avait jamais eu la force de quitter son mari, essayant de se convaincre, convaincue au fond d’elle, d’avoir engendré le démon, mais incapable en dépit de cela, de cesser de l’aimer. L’infirmière prenait le relai à Poudlard et le garçon s’en sortait plutôt bien.
Ce soir là, ils étaient en ville, pendant les vacances d’été. Rodolphus était rentré l’âme morose d’un après midi avec sa petite amie du moment. Du moins, une fille à laquelle il tenait assez pour quelqu’un qui enchaine les conquêtes depuis qu’il à l’âge de se reproduire. Rabastan n’avait pas posé de question. Leur mère s’en était chargée pour lui. Il avait ainsi su ce qu’il s’était passé, les mots qu’ils s’étaient échangés dans leur dispute, l’endroit où il l’avait planté et surtout, il n’eut aucun mal à envisager les pires conséquences. Un souvenir lui revint en esprit tandis qu’assis à la table de la cuisine il buvait un verre de lait. C’était quelques semaines auparavant. La jeune demoiselle convaincu d’avoir affaire à Rodolphus en le voyant, s’était parfaitement confié à lui, d’une façon des plus mémorables. Elle avait parlé comme elle aurait disputé son petit ami et Rabastan avait écouté. Il avait alors appris qu’elle l’aimait du fond du cœur, Rodolphus, pas lui. Et qu’à chaque fois qu’ils se disputaient, elle finissait, dans un bar, très mal entourée avec pour seule véritable amie, une bouteille de vodka. Le tableau n’était pas des plus ragoutant et Rabastan eut tôt de soupirer en y réfléchissant. Rodolphus savait-il que sa « petite amie » aimait à se livrer à la déchéance en son absence ? L’aurait-il apprécié ?

Rabastan termina la bouteille de lait au repas ce soir là et dans un naturel désarmant, il put alors annoncer qu’il aller en racheter non loin pour qu’il n’en manque pas le lendemain matin. Personne ne suspecta la diversion. Il partit rapidement, achetant la fameuse bouteille de lait à l’aller pour ne pas prendre le risque de tomber devant des enseignes closes au retour et se rendit aussi vite que ses deux jambes le lui permettaient, dans le bar désignait par son frère quelques heures plus tôt.
Il devait faire vite, aussi lorsqu’il eut repéré la demoiselle en détresse, se détestant déjà d’être ici, il s’avança vers elle et sans même lui laisser une once de choix, paya addition en jetant un billet généreux sur le comptoir, et la prit sur son épaule, tête en bas. « Rod’ ! Repose moi ! » « Moi c’est Rab’ sweetie. » « Rab’ mais putain repose moi sur ce putain de sol ou je te gerbe dessus ! » A ces mots, le jeune homme s’arrêta comme foudroyé de dégout et reposa la jeune fille. Ils étaient de toute façon assez loin pour qu’elle ne pose plus aucun problème. « T’es qu’un putain d’enfoiré Rab’, un emmerdeur de première ! » Elle vomit l’entièreté de sa journée sur les pavés mouillés de la ville puis reprit tant bien que mal « Ton frère est un… » Prit d’un nouveau haut-le-cœur elle ne put finir sa phrase mais Rabastan y devina un juron intimement *connard… Salaud… Abruti… Enfoiré… ah non ça c’est moi… * Il détourna le regard, refroidi par le spectacle. « T’as fini ? Aller je te ramène beauté, on a pas de temps à perdre » fit-il alors qu’elle peinait à se redresser.
Elle continua de l’insulter sur le chemin, comme si sa bouche n’avait plus que des injures à offrir. Rabastan l’ignora avec une facilité déconcertante et lorsqu’ils furent devant la demeure de la jeune fille, il resta un court instant sur le perron pour s’assurer qu’elle rentrerait. Elle trébucha sur la première marche menant à sa porte et un nouveau soupir désabusé secoua le jeune homme qui s’approcha pour la ramasser. « Debout l’épave, tu me fais honte. » « Oh ca va… Pourquoi tu m’aides d’abord si t’en à rien à foutre de moi. En fait tu m’aimes bien… » Fit-elle voyant peut-être en Rabastan sa dernière chance de s’envoyer en l’air ce soir. Le jeune homme la fixa avec incrédulité. « Mon frère t’aime bien. Et tu empestes le vomi. » Il lui asséna un sourire entendu avant de lui ouvrir la porte et de filer vers chez lui en courant. Il remit ses vêtements en place une fois près à pénétrer chez lui et s’assura dans la glace qu’il n’avait pas trop l’air d’avoir couru le cent mètre. « Tu en as mis du temps » la voix de sa mère venait de résonner avant même qu’il n’ait eu le temps de fermer la porte derrière lui. Il se tourna vers elle, ne l’apercevant pas vraiment dans l’obscurité ambiante. « L’épicerie était fermée, il a fallu que j’aille un peu plus loin, en ville. » Un silence s’installa. Silence qu’il se promit de ne pas rompre. S’il se justifiait de nouveau, alors tout ce qu’il dirait sonnerait comme un aveu. « Ton frère s’en est allé se coucher, je vais en faire autant. » Elle disparut et Rabastan resta un court instant dans l’entrée avec sa bouteille de lait qu’il toisa alors dans sa main.
Par chance, cette bouteille serait l’unique témoin de sa bonne action. La jeune fille ne se souviendrait même pas être rentrée chez elle tant elle s’était détruit la tête cette nuit là.
Et Rodolphus pourrait s'excuser.
Parfois, c'était au tour de Rabastan de surveiller les arrières de son ainé.

Intimité, un mot de huit lettres pour dire : voici mon cœur et mon âme, tu peux les mettre en pièce si tu veux.

Ses aspics obtenus, Rabastan rejoignit son frère à l’université magique de Londres. Absolument incertain sur son avenir et fort d’une capacité d’apprentissage incroyablement développée, il choisit un double cursus en Sciences Magiques & Sciences Occultes et Médicomagie. Il est brillant mais ce qui le rend si brillant le rend aussi violent. Atteints depuis sa plus jeune enfance d’hypermnésie, il n’a rien oublié de sa vie. Et si petit, il ne tirait que des avantages de cette mémoire incroyable, le surplus d’informations lui provoque aujourd’hui des maux de tête effroyable.
Il n'oublie jamais rien, un prénom, un visage, une date... Tout ce qu'il a lu ou entendu un jour est acquis, quelque part dans sa mémoire. Sa capacité d'apprentissage est extraordinaire grâce à cette maladie qui pourtant a son lot de souffrance.
Il lui arrive parfois de ne plus supporter la présence des autres autour de lui, leur discussions s'entre-choquant dans sa tête et sa mémoire saisissant chaque détail pour ne jamais les oublier, chaque chose insignifiante et saturant son esprit d'informations, il croit devenir fou.. Il peut ainsi se souvenir à la demande de ce qu'il a mangé 4 ans plus tôt, un certain Jeudi 3 Novembre à midi. Il peut vous redire de quel couleur vous étiez habillé tel jour ou s'il faisait beau. Autant de choses inutiles qui ne fait qu'engorger son esprit jusqu'à lui donner des maux de tête insoutenables et jusqu'à faire de chaque moment avec les autres, une véritable torture. Il ne supporte alors plus de les entendre parler de tout et de rien. Par dessus sa douleur venait s'ajouter un profond dégout de l'humanité et une fatigue psychologique incroyable. Tout cela explique très clairement sa solitude et quelques accès de colère qu'il eut pendant son séjour à Poudlard et avant.
On remarque un certain contrôle sur cet état à présent, il contrôle sa maladie et a certainement appris à faire le vide dans sa tête lorsque la discussion à laquelle il assiste lui semble dénuée d'intérêt. Il a appris à se préserver. Il me semble cependant que les maux de tête persistent...
Les mains le fascinent. Pas seulement les siennes, les mains en général, l'assemblage de tant de petit os, concourant tous à la même mécanique... Son carnet de croquis déborde de dessins de postures de mains, anatomie musculaire comme osseuse. Cette partie du corps nourrit tout particulièrement sa fascination des choses et son besoin d'apprendre, de comprendre toujours plus. Cette fascination est née lorsqu’il su qu’il était ambidextre.
Il consacre beaucoup de temps au dessin. Non pas des paysages, non cela ne l'intéresse pas... Plutôt de l'anatomie, des schémas possible de l'inconscient, du mode de fonctionne des choses… Il aime à tout comprendre et ce depuis tout jeune. La vérité, c'est tout ce qui l'intéresse. Voir, réfléchir, connaître puis comprendre.
Il est sarcastique la plupart du temps. Il a beaucoup de charisme, c'est indéniable.
Le genre de personne que l'on écoute et à qui l'on ne manque pas de respect impunément. Son aspect physique et sa posture y sont certainement pour beaucoup. En le voyant, en analysant sa démarche assurée et presque dansante on devine quelqu'un sûr de lui. Il se tient toujours très droit et la tête haute. On devine quelqu'un d'un tant soit peu arrogant également. Il dégage un certain flegme, une insolence qui peut énerver, amuser, impressionner, attirer, fasciner... Mais ne vous y trompez pas, c'est bel et bien le malin qui est dissimulé dans chacun de ses gestes. Derrière ce comportement hautement courtois et pétri de bonne manière, c'est le démon.
Il sait se montrer incisif et intimidant lorsqu'il souhaite se débarrasser d'un nuisible, donner un avertissement. Il n'est jamais négligé. Il a cet air supérieur que certains détestent et d'autres adorent. Il inspire alors une sorte de fascination.
Il pourrait dégager une grande aura de protection et de sécurité auprès de ses amis, mais il n'en a pas vraiment, on ne peut pas en dire autant de ses ennemis.
Ce qui le fascine ? Ce que pensent les gens, ce qu'ils ressentent, ce qu'ils désirent, ce qui leur fait peur... Entrer dans leur esprit et les manipuler est certainement son dessein le plus vif. Lui qui ne ressent rien de bon, qui ne connaît que cette colère gratuite qui le ronge de l’intérieur, il aimerait ressentir, ne serait-ce qu’une fois, ces autres émotions dont parlent les livres.
Son regard et son sourire sont des armes redoutables, c'est peut-être ce qu'il y a de plus perturbant chez lui. Ils sont très expressifs, passant du sourire à la haine en un clin d'œil, de la sympathie à l'effroi en moins de temps qu'il le faut pour le dire. S'il vous apprécie ou même s'intéresse à vous, vous le saurez. Si au contraire, il ne vous porte pas dans son cœur, vous le verrez également aisément dans son regard. Ses lèvres sont fines et rouges et son sourire est large et carnassier.

Il traine toujours dans les pattes de son frère, seule personne à qui il voue véritablement un semblant de loyauté.




Et c'est quoi ton p'tit nom, ou pseudo ? : Stan/Manu Et ton âge ? Parce qu'on est ouvert de 9 à 99 ans ! : 23 ans Et tu nous a trouvés comment ? : je ne vous ai jamais quitté ^^ Tu nous trouves beaux, avoues ! : mieux que ça Razz Donc tu passeras combien de temps en notre compagnie dans la semaine ? : je suis du genre à passer tous les jours et rp autant que possible Sinon, tu as lu le règlement ?! : Yep ! Et tu as peut-être un mot à dire avant de rendre la parole ?? : Bazinga !






Dernière édition par Rabastan C. Lestrange le Sam 16 Fév - 12:11, édité 15 fois
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyJeu 14 Fév - 19:34

Welcooooooooome *_*
Tiens ça m'etonne que tu prennes Ian Rolling Eyes ^^
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyJeu 14 Fév - 20:02

Merci ^^ Et Rab Rolling Eyes Etonnant hein ?!
Je vais me servir de mon ancien Rab et de mon Eze qui me colle à la peau.
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyJeu 14 Fév - 20:53

Bienvenue touah *Q*
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyVen 15 Fév - 6:05

Merci Coco *-*
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptySam 16 Fév - 12:13

Je crois que j'ai fini. Je m'excuse par avance pour la longueur effroyable de ma fiche qui risque d'en faire renoncer plus d'un xD J'espère qu'elle ne vous gonflera pas, aussi longue soit-elle.
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptySam 16 Fév - 14:40



Tu es Validé !




Bienvenue à toi sur Draco Dormiens ! Ta fiche est donc validée, ce qui veut dire que tu as la grande chance (si si) de pouvoir rp avec nous ! Voici la Carte du Maraudeur ! elle t'aidera à t'orienter sur le forum au début ! N'oublie pas d'aller recenser ton avatar et d'ouvrir ta fiche de liens !.
En tout cas, nous sommes très heureux de t'avoir parmi nous <3

Commentaire personnel: Fiche de psychopathe ! Ca donne pas envie de se retrouver face à Rab '-' (Enfin, sauf pour Rodo, quoique...)
Par contre pour le double cursus, on avait pas prévu ça, donc on a pas les rangs x) Donc tu vas choisir 1 des deux cursus et on te considérera inscrit dans les cours de l'autre en option (psychopathe du travail aussi !)
En tout cas, très belle fiche, enfin, si on peut dire belle au lieu de parfaitement horrible au niveau de l'histoire x)


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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptySam 16 Fév - 17:27

Merci, alors je pense que le cursus sciences magiques et occultes est le plus approprié ^^
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  EmptyDim 24 Fév - 17:22

C'est une fiche incroyable que tu nous a posté là. Tu m'intéresse drôlement comme garçon Cool
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MessageSujet: Re: Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !    Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !  Empty

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Rabastan C. Lestrange  On a frôlé la vie !

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